Conversations avec Dieu tome 2 : 8 points
Vous êtes nombreux à m’avoir demandé la suite du résumé du bestseller « Conversations avec Dieu tome 2 » de Neale Donald Walsch. Un article et une vidéo ont été publiés il y a environ un an. Je me suis laissé le temps de lire le tome 2 afin de l’intégrer à mon rythme et d’écrire cet article.
Ce genre de lecture ne se fait pas facilement. D’autant plus lorsque nous prenons des notes et que nous lisons plusieurs fois les mêmes phrases pour plus de compréhension. Je rappelle avec toute ma bienveillance qu’il est important de prendre ce qui vous fait écho et de laisser tomber le reste. 😊
Alors prêt pour le résumé du tome 2 ?
Table des matières
1) Premier grand principe dans le livre Conversations avec Dieu tome 2 : Dieu est en nous mais nous ne sommes pas Dieu
« La volonté de l’être humain est la volonté de Dieu » mais pas l’inverse sinon nous n’aurions pas besoin de vivre et « l’illumination » serait déjà présente.
Pour trouver la vérité de Dieu (donc de soi), il y a 5 niveaux à la sincérité :
- La sincérité envers soi-même
- à propos des autres
- de soi dite aux autres
- d’un autre dite à cet autre
- La vérité de chacun à propos de chaque chose
C’est bien par ce chemin que le coaching de vie commence, être honnête envers soi-même !
2) La différence entre ce que l’on veut et ce que l’on choisit
Nous pouvons obtenir ce que nous choisissons. Mais nous ne pouvons pas obtenir ce que nous voulons.
Lorsque l’on parle de créer une réalité que l’on choisit, le livre explique que cela prend du temps car on n’y croit pas « réellement » (au plus profond de nos tripes !).
Cela fait certainement référence à nos blocages intérieurs (qui sont inconscients). En réalité, nous ne savons pas vraiment quoi choisir car un choix peut apporter des millions de possibilités.
Le livre Conversations avec Dieu tome 2 met donc en avant d’affirmer qui l’on est et donc qui on choisit d’être dans nos expériences de vie (et non ce qu’on choisit de faire).
Faire des choix est important pour amener plus de conscience et ne pas rester dans des réactions inconscientes.
Le mot « réaction » est une action que nous avons déjà accomplie. C’est une évaluation d’une information provenant de notre mémoire qui est à la recherche de la même expérience.
C’est l’esprit qui mène aux réactions. De son côté, l’âme aimerait que l’on cherche comment créer une expérience authentique de soi-même dans l’instant présent. Ce qui demande bien évidemment de lâcher le mental (=perdre la tête).
« L’âme créé, l’esprit réagit »
Alors qu’est-ce que l’âme veut réellement ?
Elle cherche à nous ramener à Dieu donc à soi-même et ce, en passant par des expériences qui permettent de modifier les croyances limitantes. Elle parle sous forme des ressentis, ce que nous devons écouter. C’est par les émotions et les sentiments que l’on sait ce qui est le mieux pour nous-mêmes et trouver notre propre vérité. Ensuite, nous ne pouvons être responsable de la manière dont les autres acceptent ou non notre propre vérité. Nous sommes seulement responsables de la manière dont nous la communiquons.
De nombreuses personnes restent immobiles par peur ce qui masque leur propre vérité (=se trouver soi-même). Les sentiments ne disparaissent pas mais restent figés dans notre corps. Les conséquences deviennent corporelles et alourdissent l’âme. C’est pourquoi, il est important d’accueillir ses émotions et ne pas s’identifier à toutes les parties de soi-même sous la forme de réaction.
N’oublions pas que même si nous parlons de corps, d’âme et d’esprit, ils sont tous les trois reliés.
« Le plus grand défi des êtres humains c’est d’être ici et maintenant et cesser d’inventer des histoires. »
Le livre invite à faire la différence entre la « création » de l’âme et la « réaction » de l’esprit. C’est pourquoi, il rappelle l’importance de revenir à l’instant présent dans le but de créer qui nous sommes et non rejouer ce que nous avons déjà été.
Il explique également la différence entre l’unité et l’individualité. L’égo est individuel et veut démontrer qu’il est séparé du reste.
Peu importe la manière dont vous êtes en contact avec Dieu, vous savez qui il est et vous l’avez créé à votre façon. Que cela soit dans votre imaginaire, dans vos ressentis, vos rituels, … Vous pouvez l’écouter à chaque instant de la manière qui vous parle le plus.
3) La notion du temps dans le livre Conversations avec Dieu tome 2
Nous avons toujours appris que le temps est horizontal avec un début et une fin.
Le livre Conversations avec Dieu tome 2 explique que le temps n’existe pas car c’est une relativité verticale où il n’y a ni commencement ni fin, seulement l’instant présent.
Le reste du temps comme nous le connaissons est le fruit de notre imagination (le passé et futur).
« Tout le monde a déjà voyagé dans le temps par les rêves ».
Certaines personnes plus sensibles peuvent avoir quelques résidus d’énergie comme avec les impressions de déjà-vu ou de connaître quelqu’un depuis très longtemps. En fait, c’est nous qui nous nous déplaçons et non le temps qui se déplace !
Pour imager ce principe, c’est comme si vous mettez plusieurs feuilles (qui représentent chacune l’instant présent) empilées les unes sur les autres. Une partie de soi se trouve dans chaque feuille. Chaque instant se déroule en même temps et tout existe à l’instant présent. Nous voyageons constamment d’une feuille (= une réalité) à une autre.
Ce qu’on entend par « vieilles âmes » n’a rien à voir avec une temporalité mais un niveau de conscience. Nous avons déjà TOUT en nous !
« La mort est un changement de forme et non la fin de la vie ».
Quand nous avons l’impression que le temps s’arrête, c’est vrai ! C’est que nous nous arrêtons aussi et faisons l’expérience d’un instant.
4) Vision du monde et le sentiment de sécurité intérieure
Nous prenons d’abord conscience de notre aspect individuel (= de soi). Ensuite nous prenons conscience des autres pour ensuite prendre conscience qu’il n’y a personne d’autre et que tout est une unité.
Au plus nous élargissons notre vision, nous inventons de nouvelles règles pour englober ces nouveautés. Nous créons également des obligations et interdictions qui créent des frontières (cela fait référence au sentiment de sécurité intérieure). Gardons en tête que nous sommes illimités. Nous pouvons imaginer ces frontières et les accepter comme une façon de mieux nous connaître.
La vision du monde est différente chez chacun, c’est pourquoi le livre explique que personne ne fait rien de « mauvais ». Cette notion du bien et du mal est différente pour chaque être humain et également dans chaque culture, religion, famille, et évolue aussi en fonction du temps.
Ce qu’on appelle couramment « karma » n’est pas une punition mais des conséquences (petit rappel du tome 1, le mal n’existe pas). Ces conséquences se font dans l’expérience relative et non dans l’absolu (après la mort).
Ce qu’on entend par « expérience » sont des occasions afin de s’en servir comme des outils pour vivre suivant notre vérité. Nous pouvons partir du principe que rien n’arrive par hasard. Cependant, il ne faut pas confondre la conscience individuelle et la conscience collective.
Les expériences planétaires proviennent d’une conscience collective. La vision que l’on a du monde et l’état dans lequel il se trouve est le reflet de la conscience de chacun.
5) Les cycles de la vie
La mort est le début d’un nouveau cycle qui est joyeux et non une fin comme quelque chose d’horrible. C’est difficile à décrire et à comprendre pour les êtres humains.
Comprendre est aussi important que de ressentir. C’est apprécier le processus au lieu de le supporter.
Il existe plusieurs croyances collectives comme le fait que nous pouvons avoir du plaisir qu’en « échange » de souffrance.
Par exemple s’aimer soi-même, aimer le sexe ou gagner de l’argent. Nous utilisons la culpabilité !
Ce qui ne sert pas, est d’en être dépendant sinon il est bien d’aimer pour célébrer, pour atteindre un but, pour aider les autres, pour devenir une meilleure personne, pour partager, …
S’aimer soi-même, s’accorder la priorité n’est pas égoïste mais de la conscience de soi-même. Ce qui n’empêche que ce qui engage d’autres personnes doit être fait avec leur consentement et leur permission.
6) L’éducation reprise dans Conversations avec Dieu tome 2
Dans certaines sociétés (dites éclairées) la sexualité n’est pas vu comme quelque chose de honteux.
Les enfants ne sont pas punis à prendre plaisir tôt. La sexualité de leurs parents n’est pas nécessairement cachée tout comme les corps nus considérés comme naturels. Il n’y a pas ou très peu de dysfonctionnement sexuel.
Les parents du monde entier sont un modèle et transmettent eux-mêmes « le bien et le mal ». Les enfants captent tous les signaux même subtils et ce qu’ils voient de leurs parents penser, dire ou faire.
Transmettre à nos enfants une éducation c’est transmettre la sagesse. Montrer comment aborder les étapes de manière joyeuse au lieu de transmettre la honte. La plupart des personnes sur terre transmettent un cadre de pensées au lieu de permettre aux enfants de trouver leur propre vérité.
Ce que nous retrouvons dans la plupart des connaissances transmissent par nos aïeux, est un point de vue « mâle protestants anglo-saxons blancs ». Ce ne sont donc plus des histoires mais de la politique.
« L’histoire révèle, la politique justifie. L’histoire dévoile et la politique dissimule ».
Enseigner en demandant aux enfants de trouver différents points de vue au lieu de mémoriser les faits serait beaucoup plus enrichissant.
Demandez quelle sagesse ils tirent des histoires, comment ils feraient pour résoudre les problèmes, … Le rôle des adultes est d’encourager les plus jeunes à changer le monde. C’est pour cela qu’ils se rebellent, car ils ne sont pas entendus et imitent les comportements violents.
Le livre Conversations avec Dieu tome 2 incite à enseigner les sujets de la conscience, de l’honnêteté et la responsabilité. Les autres matières peuvent être enseignées sur base de ces concepts fondamentaux.
7) La politique
Le livre enseigne à trouver sa vérité et met en avant des principes fondamentaux. Ce qui ne fait pas bon ménage avec la politique telle que nous la connaissons.
De nombreuses personnes agissent selon leur intérêt personnel et les gens de pouvoir cherchent à convaincre que leur intérêt personnel est le vôtre.
Nous apprenons qu’à l’origine, les gouvernements avaient des fonctions limitées : conserver et protéger. La notion de pouvoir sur les autres est venue ensuite ce qui est reflété par les lois.
Au plus nous nous séparons, au plus nous nous éloignons d’un espace d’amour. Si la politique considérait les citoyens comme une famille, ce serait complètement différent. Il pourrait y avoir un budget pour nourrir, loger les pauvres, apporter plus de sécurité aux gens ainsi que des soins de santé. Et ainsi diminuer le budget pour la défense et l’armement.
Deux points pour améliorer la situation politique :
- Partagez suffisamment de richesse et de ressources avec tous les gens de la terre. Personne ne voudra ce qu’un autre possède et chacun pourrait vivre dans la dignité et sortir de la peur.
- Créez un système de résolution des différends qui éliminera la nécessité et la guerre.
Actuellement, le système est basé sur des personnes qui interprètent les lois et le système judiciaire est soutenu par une force armée. Les gens qui ont du pouvoir se soucient plus du pouvoir que de la qualité de vie de tout le monde.
« Il ne faut pas un changement de circonstance mais de conscience ».
A nouveau, choisir qui ont veut être est fondamental. C’est ce dont nous sommes conscients qui est à la base de notre spiritualité. Nos capacités d’être n’ont rien à voir avec ce que les autres sont ou font.
Les êtres humains ne sont pas encore assez éveillés pour qu’il n’y ait plus de gouvernement. Mais ceci peut évoluer.
Le plus important est que tous les êtres humains se sentent en sécurité. C’est l’assurance d’une survie (= avoir un toit et à manger) et de la dignité pour ensuite choisir ce que nous voulons en plus.
La terre n’a plus le temps de se former avec la production massive et les produits chimiques éloignent d’une bonne santé. Pour résoudre ces problèmes, il faut rendre les mouvements financiers visibles aux yeux de tous.
Contrer les jeux de pouvoir en rendant l’argent visible. Montrer les finances de tous ferait tomber la vérité et les comportements inappropriés.
Cela demanderait donc de développer un nouveau système monétaire international traçable et responsable.
« Visibilité n’est qu’un synonyme de vérité ».
Pour satisfaire ses besoins fondamentaux et s’élever deux changements sont nécessaires : le paradigme politique et paradigme spirituel.
8) S’écouter
Pour clôturer, s’écouter est fondamental. Les meilleurs conseils viennent de soi-même en suivant son cœur. Il n’y a aucune obligation de croire quoi que ce ne soit ni d’accepter les opinions des autres. Le but n’est pas non plus de devenir dépendant de ce livre mais d’amener à penser tout seul comme ce que nous aurions dû apprendre depuis que nous sommes petits.
« Il n’y a rien que Dieu ne soit pas et tout ce dont Dieu fait l’expérience de lui-même, Dieu en fait l’expérience en toi en tant que toi et à travers toi ».
Si ce résumé du livre Conversations avec Dieu tome 2 vous a plu, je vous invite à le commenter et le promouvoir pour soutenir mon travail. 🙂
Re-bonjour, Apparemment ma première réponse ne c’est pas enregistré !
Je disais donc, que je suis d’accord sur le faite qu’on doit apprendre à se connaitre et a se faire confiance. Moi, ça m’a prit du temps. Le temps de croiser les bonnes personnes qui m’ont aidé sur le chemin de la confiance. Prendre confiance en moi , m’a aussi aidé croire en moi et en mes compétences.
Je penses qu’on devrait aussi faire plus à attention à nos intuitions et à les suivre !! Je ne le fais pas encore, mais je suis sur le bon chemin.
Merci pour ton retour d’expérience Fabienne, c’est beau à lire ! 🙂
Article très intéressant ! J’ai ce livre dans ma liste des livres à acheter, cela me donne encore plus envie de me le procurer. Merci!
oh super, effectivement le résumé ne suffit pas à se faire sa propre idée 🙂 bonne lecture !